CONTRIBUTEURS

Dina Ting, CFA
Head of Global Index Portfolio Management,
Franklin Templeton ETFs

Marcus Weyerer, CFA
Director of ETF Investment Strategy EMEA
Franklin Templeton ETFs
Principales conclusions :
- La course à l'intelligence artificielle (IA) a engendré des ratios de concentration sans précédent pour l'indice S&P 500, mais elle présente également des risques.
- La vague d'élections prévues en 2024 pourrait induire des divergences économiques à court terme à l'échelle du monde et une volatilité des marchés.
- Le « nearshoring » profite au Mexique, un peu moins au Canada, tandis que les faibles valorisations observées au Brésil, inférieures à 10 fois le ratio cours/bénéfice, continuent d’offrir des opportunités, selon notre analyse.
- L'Asie offre diverses possibilités d'investissement, avec un cycle des semi-conducteurs qui s’annonce favorable en Corée du Sud et à Taïwan.
Si vous avez l'intention d'étudier certaines projections d'investissement pour 2024, vous anticipez peut-être déjà certains mots-clés en vogue et avez à l'esprit une carte de bingo (mentale) de mots qui font le buzz. Toutes nos félicitations si vous êtes en mesure de cocher la case #Magnificent7 (Sept Fantastiques), compte tenu de toutes les discussions sur la démesure de l'indice S&P 500 et sur l’interrogation du moment : les « Sept Fantastiques » (Alphabet, Amazon, Apple, Meta, Microsoft, Nvidia et Tesla) sont-ils à la hauteur de leurs valorisations onéreuses?
Nous pensons effectivement que le thème de l'IA dynamisera ces méga-entreprises technologiques, quelle que soit la façon dont leurs actions continueront à se comporter en ce début d’année. Mais n'oublions pas que les dix premiers titres du S&P 500 représentent près d'un tiers de la capitalisation boursière de l'indice, les Sept Fantastiques comptant pour plus d'un quart de la capitalisation boursière et étant à l’origine de la quasi-totalité de l'appréciation de cet indice depuis le début de l'année.1 Attention à cette « fantastique » surconcentration, qui implique également que les États-Unis représentent plus de 60 % de l'indice MSCI All Country World (ACWI).2
De l'autre côté du globe se trouve le plus grand consommateur mondial de puces à semi-conducteurs : la Chine. Alors même que les marchés chinois sont confrontés à une fragilité cyclique et que les États-Unis restent en tête de la course mondiale à l'innovation dans le domaine de l'IA, cette technologie révolutionnaire est rapidement déployée dans l’Empire du Milieu. Des régions telles que Pékin, Shenzhen et Shanghai aspirent de plus en plus à devenir la plaque tournante des compétences en IA du pays, aux côtés d'autres pôles régionaux tels que l'Inde, qui bénéficie d'une politique accommodante et d'une main-d'œuvre qualifiée mais bon marché. Les investisseurs stratégiques feraient donc peut-être bien de considérer leur allocation en actions américaines pour 2024, de manière à réduire les taux de concentration record et à prendre en compte des risques tels qu'un calendrier électoral chargé en 2024 pour les principales puissances mondiales, qui ne manquera pas d’avoir des conséquences économiques.
Il est à noter en effet qu’au cours de l’année à venir, quelque quatre milliards de personnes - plus de la moitié de la population mondiale - se rendront dans les bureaux de vote pour participer à des élections générales, régionales ou locales organisées dans plus de 70 pays.
L'élection à Taïwan en janvier devrait constituer un tournant dans les relations sino-américaines ; au printemps, le Premier ministre indien Narendra Modi devrait se diriger tout droit vers un troisième mandat avec un taux d'approbation élevé à la suite d'une année charnière qui a mis en évidence la montée en puissance mondiale du pays ; et sans aucun doute, l’issue des élections américaines qui se tiendront fin 2024 pourrait être la plus lourde de conséquences de toutes.
Les données relatives aux marchés américains montrent toutefois que, sur le long terme, les résultats des élections présidentielles ont tendance à avoir très peu d'impact sur les mouvements du marché (en général, l'éventail le plus large de résultats possibles pour le marché par rapport à d'autres périodes du cycle électoral se produit au cours des 12 mois d'incertitude qui précèdent le jour de l'élection).3 Avec une volatilité actuelle de l'ordre de 10 %, nous craignons des pics de volatilité liés à des facteurs politiques tout au long de l'année. En termes historiques, les 12 mois précédant les élections affichent une volatilité moyenne de 17 % les années où le même parti se maintient à la Maison Blanche ; les années où la présidence bascule, ce chiffre passe à plus de 20 %. Compte tenu du contexte politique difficile, il se peut que le marché soit plus nerveux que ce qui est actuellement anticipé.
Quelle que soit l'issue des élections, nous nous attendons à ce que les répercussions se fassent sentir dans les principales régions du monde, en particulier en Asie. Compte tenu des incertitudes économiques liées à l'inflation et à la trajectoire des taux américains, nous nous attendons à ce que les investisseurs continuent à faire preuve de la plus grande sélectivité quant aux marchés émergents qu'ils choisiront pour 2024.
Niveau moyen du VIX
Période de 12 mois précédant les élections présidentielles américaines

Sources : CBOE, Bloomberg. L'indice de volatilité du marché CBOE (VIX) mesure les attentes du marché quant à la volatilité à court terme, telles que reflétées par les prix des options de l'indice boursier S&P 500. Cet indice est souvent appelé « indice de la peur » : des valeurs plus faibles suggèrent un environnement à faible risque perçu, tandis que des valeurs plus élevées suggèrent une période de plus grande volatilité. Les indices ne font l’objet d’aucune gestion et il n’est pas possible d’y investir directement. Ils ne tiennent pas compte des commissions, dépenses ou frais de vente. Les performances passées ne constituent pas un indicateur ni une garantie des performances futures.
Ainsi, si vos projets pour cette nouvelle année impliquent de réexaminer l’impact de la préférence nationale américaine sur la diversification des portefeuilles, nous vous suggérons de réfléchir à l'utilité des fonds indiciels cotés (ETF) régionaux et nationaux à faible coût pour mettre en œuvre une allocation d'actifs ciblée à l'échelle mondiale. Il nous semble que les ETF pays passifs et les solutions à pondération alternative telles que les expositions multifactorielles, conçues pour une mise en œuvre précise, peuvent constituer la bonne approche pour de nombreux investisseurs dans ce contexte.
En ce qui concerne 2024, nous pensons que les investisseurs devraient tenir compte des points suivants :
Aime ton voisin - Canada et Mexique (peut-être pas de la même manière)
Depuis que les bouleversements provoqués par la pandémie ont mis l'accent sur la nécessité de renforcer et de diversifier des chaînes d'approvisionnement résilientes plus proches des consommateurs finaux, les tendances à la délocalisation à proximité, ou « nearshoring », ont profité aux voisins des États-Unis, à savoir le Canada et le Mexique. Si la ribambelle de nouveaux accords commerciaux conclus dans cette optique, tels que les partenariats renforcés relatifs à la fourniture de minéraux critiques et d'autres biens essentiels, profitent à toutes les parties, le « nearshoring » a quant à lui surtout été une aubaine pour le Mexique. Dans le même temps, la croissance économique du Canada a connu des ratés cette année, même si la bonne nouvelle est que l'inflation diminue, selon les responsables de la banque centrale, qui ont laissé le taux d'intérêt directeur du pays inchangé à 5 % au début du mois de décembre.
Les tendances solides de la demande ont permis à l'indice des directeurs d'achat (PMI) dans le secteur manufacturier mexicain d’afficher une hausse régulière ces dernières années. Les nouvelles commandes totales ont progressé, et les fabricants mexicains ont collectivement enregistré la plus forte hausse combinée de leurs ventes depuis un peu moins de cinq ans.4 A contrario, le ralentissement du secteur manufacturier canadien a continué de s'aggraver du fait des pressions sur les coûts, de la baisse des nouvelles commandes et du fléchissement des ventes.
La #divergence (des rendements, en l'occurrence) est probablement un autre terme à retenir pour l'année 2024. En cumul annuel, l'indice FTSE Canada RIC Capped est en hausse de +9,4 %, tandis que l'indice FTSE Mexico RIC Capped a pour sa part gagné +31 %, devançant le S&P 500 (+24,5 %).5 Avec une pondération en faveur des secteurs de la consommation de base et de la finance, l'indice de référence mexicain a vu ses plus importants rendements provenir des géants de la distribution et des conglomérats qui sont actifs dans l'embouteillage et la distribution de boissons de marque. L'une des plus grandes entreprises de l'industrie des boissons d'Amérique latine a également réussi à tirer parti de l'accès aux clients de sa chaîne de magasins de proximité omniprésente, grâce à de nouvelles cartes de débit numériques qui pourraient contribuer à la pénétration des services financiers, une des priorités du gouvernement central.
Un projet de loi visant à réorganiser les bourses nationales afin de stimuler les échanges, récemment approuvé par le congrès mexicain, est également de bon augure pour la deuxième économie d'Amérique latine.
PMI Manufacturier
Indice des directeurs d'achat (PMI) dans le secteur manufacturier
31 janvier 2021 - 30 novembre 2023

Sources : FactSet, Markit Economics. Mentions et conditions importantes du fournisseur de données disponibles sur www.franklintempletondatasources.com.
Opportunités en Asie
Si l'attention que vous avez portée à l'Asie en 2023 s'est concentrée sur le marché japonais, vous n'êtes pas le seul, car il est probable que la pléiade diversifiée des économies de la région soit sous-estimée dans les portefeuilles. Nous avons écrit cette année sur l’Inde et son dynamisme - l'un des grands pays qui croît le plus rapidement, avec des perspectives solides à court et à long terme. L'Inde, qui a détrôné la Chine du rang de pays le plus peuplé du monde, devrait afficher un produit intérieur brut (PIB) supérieur à celui du Japon en 2026, selon de récentes projections du Fonds monétaire international.6 Alors que le Japon devrait se classer au cinquième rang des économies mondiales entre 2026 et 2028, le PIB nominal de l'Inde (mesuré en USD) devrait dépasser à la fois ceux de l'Allemagne et du Japon d'ici à 2028. La nation la plus peuplée du monde a célébré plusieurs succès récents dans le domaine de l'exploration spatiale et s'est affirmée sur la scène internationale en faisant valoir son influence diplomatique en tant qu'hôte du sommet du G20 en septembre 2023.
Ailleurs en Asie, les grands marchés d'exportation que sont Taïwan et la Corée du Sud disposent de compétences technologiques de très grande qualité, tandis que Hong Kong et Singapour sont deux plateformes commerciales et places financières de premier plan dans le monde. L'Indonésie est la quatrième nation la plus peuplée, peut se targuer d'être la plus grande économie de l'Asie du Sud-Est et possède environ un cinquième des réserves mondiales de nickel. Elle est appelée à jouer un rôle de premier plan dans la chaîne d'approvisionnement des véhicules électriques. Nombre de ces économies sont bien positionnées pour bénéficier de l'approche « Chine+1 » de plus en plus répandue dans le secteur manufacturier. La redistribution de la pondération de la Chine entre certains de ces acteurs peut s'avérer judicieuse, non seulement du point de vue de la diversification, mais aussi d'un point de vue économique.
Suprématie des semi-conducteurs
La Corée du Sud et Taïwan occupent une place de choix sur la scène internationale, grâce à leur position dominante dans l'industrie des semi-conducteurs. Selon nous, ce secteur a probablement traversé - ou est en train de traverser - le creux du dernier cycle. La durée moyenne de ces cycles a été d'environ 18 à 24 mois depuis 2000, et comme le dernier pic s'est produit en 2021, nous sommes optimistes pour 2024. En règle générale, la Corée du Sud et Taïwan ont eu tendance à bien se comporter après un fléchissement de l'industrie. Le rendement sur 12 mois des deux marchés après un point bas du cycle a été en moyenne d'environ 30 %, contre 23 % pour les marchés émergents au sens large. Il ne faut pas oublier, bien entendu, que le rebond technologique induit par la pandémie de COVID-19 fausse quelque peu ces chiffres, et que l'échantillon est de petite taille avec seulement cinq cycles (de 2000 à 2021) étudiés. Mais surtout, les deux économies semblent également prêtes à bénéficier de facteurs structurels à plus long terme qui accroissent la demande de puces. En plus de l’#IA (autre terme clé), il y a l'Internet des objets (l'interconnexion en ligne de dispositifs informatiques intégrés dans des objets physiques de la vie quotidienne) et le métavers (un monde interactif et immersif alimenté par plusieurs technologies numériques via de la réalité virtuelle et mixte).
En décembre 2023, le président sud-coréen Yoon Suk Yeol a annoncé le renforcement de « l'alliance des semi-conducteurs » avec les Pays-Bas au cours d'une visite de quatre jours dans le pays. Le même mois, le géant néerlandais des composants pour puces électroniques ASML et la société sud-coréenne Samsung Electronics ont convenu d'un nouvel investissement conjoint majeur pour construire en Corée du Sud une usine destinée à la production de technologies de pointe pour le traitement des semi-conducteurs destinés aux puces électroniques de dernière génération.
À court terme, les valorisations de ces économies nous paraissent encore élevées, surtout par rapport à la Chine. Les exportations taïwanaises, en particulier celles liées à la technologie et à l'intelligence artificielle, ont été robustes, tandis que les exportations non technologiques ont montré des signes de faiblesse. Dans l'ensemble, cependant, les prévisions de croissance pour la Corée du Sud et Taïwan, qui se situent entre 2 et 3 % pour 2024, constituent une amélioration par rapport à 2023.7
Reste des marchés émergents
Brésil
Le Brésil a lui aussi connu une bonne année 2023, avec un marché, tel que mesuré par l'indice FTSE Brazil RIC Capped, en hausse d'environ +36 % sur la période d’un an close le 15 décembre 2023, contre environ 7,5 % pour les marchés émergents dans leur ensemble, mesurés par l'indice FTSE Emerging.8 La vigueur des secteurs agricole et minier de la plus grande nation d'Amérique latine (en termes de population), dotée de nombreuses ressources, a également dopé la croissance du PIB, qui dépasse désormais ses niveaux d'avant la pandémie de COVID. Même si la croissance globale du PIB pour 2024 devrait être inférieure à celle de 2023, nous percevons des opportunités intéressantes au Brésil, un vaste marché où les valorisations sont inférieures à 10 fois le rapport cours/bénéfice.
Reconnue pour avoir relevé les taux d'intérêt de manière proactive dès le début de la pandémie, la banque centrale indépendante du Brésil a obtenu de bons résultats dans sa lutte contre l'inflation. Nous avons récemment commenté la performance des actions brésiliennes par rapport au prix du pétrole, et nous restons optimistes quant à la possibilité pour les investisseurs de trouver actuellement des points d'entrée attrayants sur ce segment prometteur des marchés d'actions mondiaux.
Arabie saoudite
La transformation de l'Arabie saoudite est portée par le cadre Vision 2030 du Royaume, qui fournit un schéma économique et social complet pour ses objectifs de réforme à long terme. Le pays dispose d’avantages concurrentiels, parmi lesquels la vigueur de ses investissements et son emplacement géographique stratégique entre trois continents. Et bien sûr, il reste le plus grand producteur de pétrole au monde. Ces dernières décennies, la part des exportations du Moyen-Orient destinées à la Chine et à l'Inde a augmenté sous l'effet de l'appétit croissant de l'Asie pour le pétrole : elle a été multipliée par cinq environ, selon le Fonds monétaire international. Sur la même période, la part des exportations vers l'Europe et l'Amérique est tombée à 16 %.
Les pays de l'OPEP+ ont récemment éprouvé des difficultés à faire remonter les prix du pétrole ; toutefois, les conflits en cours au Moyen-Orient, notamment la guerre entre Israël et le Hamas et les attaques des rebelles houthis du Yémen contre les pétroliers circulant sur la mer Rouge, compliquent les perspectives de la production de pétrole.
Au-delà de l'énergie, l'Arabie saoudite a par ailleurs tenté de diversifier son économie afin d’élargir la gamme de ses exportations et de son potentiel d'investissement via l’organisation de grands événements sportifs, le tourisme, les infrastructures et le divertissement. Elle a notamment instauré des visas touristiques fin 2019 et ces efforts pourraient être de bon augure pour son marché en 2024. Dominé par les secteurs de la finance, des matériaux et de l'énergie, l'indice FTSE Saudi Arabia RIC Capped était en hausse de 11 % sur la période d’un an se terminant le 15 décembre 2023.9 Malgré une certaine controverse, l'Arabie saoudite semble prête à accueillir la Coupe du monde 2034, ce qui ferait d'elle le deuxième pays arabe du Golfe à organiser le Mondial, après le Qatar en 2022.
En résumé, nous pensons que les investisseurs doivent prêter attention aux risques de surconcentration des portefeuilles. Au vu des nombreuses élections majeures qui doivent se tenir en 2024, le potentiel de volatilité des marchés à court terme perdure. Indépendamment des changements politiques liés à ces élections, les tendances économiques fondamentaux peuvent avoir un impact sur les fluctuations du marché, de sorte qu'il est plus important que jamais, pour cette année, de procéder à une diversification et à une sélection ciblées des pays.
Notes de fin
- Sources : Bloomberg, S&P. Au 15 décembre 2023. Les indices ne font l’objet d’aucune gestion et il n’est pas possible d’y investir directement. Ils ne tiennent pas compte des commissions, dépenses ou frais de vente. Les performances passées ne constituent pas un indicateur des résultats futurs. Consultez le site www.franklintempletondatasources.com pour obtenir des informations supplémentaires sur les fournisseurs de données.
- Sources : Bloomberg, S&P. Au 15 décembre 2023. L'indice MSCI ACWI est un indice pondéré selon la capitalisation boursière, ajusté en fonction du flottant, conçu pour mesurer le rendement des actions des marchés mondiaux développés et émergents. Les indices ne font l’objet d’aucune gestion et il n’est pas possible d’y investir directement. Ils ne tiennent pas compte des commissions, dépenses ou frais de vente. Les performances passées ne constituent pas un indicateur des résultats futurs. Consultez le site www.franklintempletondatasources.com pour obtenir des informations supplémentaires sur les fournisseurs de données.
- Sources : Haver Analytics, FactSet, Fidelity. Au 14 novembre 2023.
- Source : S&P Global. 1er décembre 2023.
- Source : Bloomberg. Au 15 décembre 2023. L’indice FTSE Canada RIC Capped représente la performance des actions canadiennes de grandes et moyennes capitalisations. L’indice FTSE Mexico RIC Capped représente la performance des actions mexicaines de grandes et moyennes capitalisations. Les titres sont pondérés en fonction de leur capitalisation boursière ajustée du flottant et sont examinés une fois par semestre. Les indices ne font l’objet d’aucune gestion et il n’est pas possible d’y investir directement. Ils ne tiennent pas compte des commissions, dépenses ou frais de vente. Les performances passées ne constituent pas un indicateur des résultats futurs. Consultez le site www.franklintempletondatasources.com pour obtenir des informations supplémentaires sur les fournisseurs de données.
- Source : Cartographie des données mondiales du FMI. Octobre 2023. Rien ne garantit que les prévisions, projections ou estimations se réalisent.
- Source : Korea Development Institute, Economist Intelligence Unit 2023.
- Source : Bloomberg. Au 15 décembre 2023. L’indice FTSE Brazil RIC Capped représente la performance des actions brésiliennes de grandes et moyennes capitalisations. Les titres sont pondérés en fonction de leur capitalisation boursière ajustée du flottant et sont examinés une fois par semestre. L'indice FTSE Emerging mesure la performance des entreprises de grandes et moyennes capitalisations les plus liquides sur les marchés émergents. Les indices ne font l’objet d’aucune gestion et il n’est pas possible d’y investir directement. Ils ne tiennent pas compte des commissions, dépenses ou frais de vente. Les performances passées ne constituent pas un indicateur des résultats futurs. Consultez le site www.franklintempletondatasources.com pour obtenir des informations supplémentaires sur les fournisseurs de données.
- Source : Bloomberg. Au 15 décembre 2023. L’indice FTSE Saudi Arabia RIC Capped représente la performance des actions saoudiennes de grandes et moyennes capitalisations. Les titres sont pondérés en fonction de leur capitalisation boursière ajustée du flottant et sont examinés une fois par semestre. Les indices ne font l’objet d’aucune gestion et il n’est pas possible d’y investir directement. Ils ne tiennent pas compte des commissions, dépenses ou frais de vente. Les performances passées ne constituent pas un indicateur des résultats futurs. Consultez le site www.franklintempletondatasources.com pour obtenir des informations supplémentaires sur les fournisseurs de données.
QUELS SONT LES RISQUES ?
Tout investissement comporte des risques, notamment celui de ne pas récupérer le capital investi. Les titres en actions sont sujets à des fluctuations de cours et peuvent occasionner une perte de capital.
Les placements dans des secteurs à forte croissance comme les technologies (secteur historiquement volatil) peuvent connaître des fluctuations boursières accrues, notamment sur le court terme, en raison de la vitesse de développement des produits et des évolutions des réglementations publiques dans le sillage d’avancées scientifiques ou technologiques ou de l’accord des autorités de tutelle pour les nouveaux médicaments et dispositifs médicaux.
Les investissements internationaux sont sujets à des risques spéciaux, dont les fluctuations des devises, ainsi que les incertitudes sociales, économiques et politiques qui peuvent en accentuer la volatilité. Ces risques sont amplifiés dans les marchés émergents.
La participation du gouvernement à l’économie reste importante et, par conséquent, les investissements en Chine seront soumis à des niveaux de risque réglementaire plus élevés que dans de nombreux autres pays. Les investissements en Chine, à Hong Kong et à Taïwan comportent des risques spécifiques, notamment une liquidité réduite, l’expropriation, une fiscalité confiscatoire, des tensions commerciales internationales, des nationalisations, des réglementations en matière de contrôle des changes et une inflation rapide ; autant de facteurs qui peuvent avoir une incidence négative sur le fonds. Les investissements à Taïwan pourraient souffrir des relations politiques et économiques de ce pays avec la Chine.
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